Seiken Densetsu 2, ma vie en Square
Je me suis confié moi-même (ça m’arrive souvent) la lourde tâche de parler d’un jeu qui a marqué mon enfance, et sans doute influencé mon attirance pour un grand nombre de jeux.
Je veux bien sur parler d’un des plus grands RPG Vintage auquel il m’ait été donné de jouer, l’intemporel et éternel Seiken Densetsu 2, plus connu sur le continent Européen sous le nom de Secret Of Mana.
C’est sans aucun doute l’un des plus grand RPG sur Super Nintendo à mes yeux et il restera une des références dans le domaine avec un certain The Legend of Zelda: A Link to the Past, Némésis incarnée mais aussi, et çà peu de personnes le savent (sauf si tu es un petit malin et que tu as comme moi fait un tour sur Wikipédia), principal responsable du développement de SoM.
Rentrons un peu dans le détail. Après les succès que l’on connait pour les deux premiers épisodes de Zelda sur Nes et l’explosion du troisième opus sur Super Nes, Square qui avait cartonné tout le monde avec les premiers Final Fantasy cherche un moyen de concurrencer Nintendo alors développeur des épisodes de Zelda. Ils misent sur la série des Seiken Densetsu. A la suite d’un premier épisode jamais sorti en France, Square développe alors le jeu qui va rentrer dans la légende des RPG sur consoles, Seiken Densetsu 2.
Le seul d’ailleurs qui connaîtra un réel succès et l’engouement de millions de joueurs (ok j’éxagère peut être un peu, mais il les mérite ces millions).
On peut évoquer l’épisode Game Boy de Mystic Quest, qui est à proprement parler proche de Seiken Densetsu 1, mais Yama vous parlera plus longuement et de manière tout aussi passionnée (et si je lui flingue son article il ne va pas être content du tout).
Seiken Densetsu 2 (employons le nom exact afin de ne pas tomber dans le sacrilège des traductions Européennes) est avant tout un jeu destiné à un seul et unique joueur, lui offrant la possibilité de contrôler à ses débuts un personnage unique, et qui par la suite prendra en charge une équipe de trois personnages avec des compétences et profils variés et complémentaires.
Une fois déballé le jeu de son emballage, dont un guide plus que complet était fourni avec, on attends avec impatience les premières images. Je mets la cartouche dans la console, je l’allume, et là je m’installe confortablement.
Aouch la claque ! Je n’ai même pas encore commencé à joué que mes doigts frémissent. Il me semble même avoir sans doute poussé des petits cris d’excitation pendant les premières minutes. Sur cette musique du compositeur Hiroki Kikuta, l’histoire est simple est efficace. Un héros, coiffé comme d’habitude en pétard, avec cette chevelure couleur orange qui ferait fuir n’importe quel passant dans la rue, et qui comme par hasard tombe sur une vieille épée qui se trouve être, encore une fois par hasard, un artefact légendaire dont il sera le porteur afin de délivrer le monde de la sombre menace qui plane.
Alors oui, le scénario est classique, oui, le héros n’est pas un intellectuel qui aura à résoudre de multiples équations, mais comme dirait Kame Sama (ou Tortue géniale pour les non initiés…qui décidément sont très nombreux).
« Nom d’une tortue asthmatique, ce petit gars est réellement attachant ! ».
Car ce qui fait la beauté de ces RPG Vintage, ce n’est pas le héros torturé qui se demande que faire de sa vie en poussant les autres au bord de la crise de nerfs, mais bien celui qui sans réfléchir fonce dans le tas avec son épée ridicule et poursuit les ignobles méchants sans sourciller ni s’arrêter à chaque panneau Stop. A une époque où la plupart des protagonistes principaux des RPG avaient le charisme d’une huitre, ce qui faisait la différence, c’était l’inventivité et un gameplay hors du commun. Et on peut dire que Seiken Densetsu 2 a réuni tous les éléments du succès à l’époque.
Voici une rapide présentation des 3 héros qu’on est amené à contrôler :
Randi (ou quelque soit le nom que vous lui donnez dans le jeu. Couillon restant mon favori).
Originaire du village de Potos, il va découvrir au tout début à la suite d’une chute dans une cascade une étrange épée insérée dans la roche (Oh comme c’est original, pourquoi pas l’appeler Arthur et lui coller aux basques une bande de chevaliers.
Bon ok j’arrête) et dans une cinématique digne des jeux de l’époque, libère cette épée, brisant alors le sceau qui protégeait le monde.
Des fois je me dis tout de même « Mais quelles bandes de truffes ces héros ! »
A la suite de quoi les évènements s’enchaînent, car il doit alors secourir un ami tombé dans une grotte (non pas celle de Lascaux) pour y affronter le premier boss. Donc premier affrontement, et premier sentiment, la maniabilité est impressionnante, le jeu fluide et graphiquement, on rentre sans aucun problème dans la peau du personnage.
Pari réussi, j’étais accroc et pour ainsi dire dans la panade concernant toute vie sociale ou éventuelle petite amie (bizarrement, aucune ne trouvait sexy le fait de jouer avec moi pour coller une rouste à un boss de SoM). Les premiers monstres que l’on rencontre sont assez faibles, et il est très rare de mourir au cours des premières heures de jeu.
Tout est tellement bien agencé, sans réel temps mort, que l’on enchaine les heures de jeu (tant que notre mère ne vient pas râler et menacer d’éteindre la console sans préavis ni accusé de réception). On attend avec impatience les montées de niveaux et la découverte des nouveaux villages.
Après quelques heures de jeu, après s’être acharné sur les lapins, guêpes et divers champignons (c’est très méchant un champignon !!) qui jalonnent votre route, on rencontre le second personnage jouable, une charmante jeune fille.
Première découverte, on peut jouer les deux grâce au menu en pressant la touche Y. Alors certes, les premières minutes étaient un peu hasardeuses afin de maîtriser ce nouveau système. On a parfois tendance à s’exciter un peu et fulminer après les déplacements de notre nouvelle compagne.
« Mais tu va bouger oui espèce de Gourde ! »
Un peu plus tard, on rencontre alors un nain, euh un elfe pardon. Ce n’est sans doute pas le personnage le plus immémorable dans l’histoire des RPG, mais il avait un petit côté attachant, un peu comme le chien que je n’avais pas à l’époque.
Bien entendu, lorsque venais le moment de jouer à plusieurs avec une ou deux manettes supplémentaires, il fallait choisir quel personnage on allait incarner. Et autant vous dire que les débats étaient parfois animés.
« Comment çà tu veux que je prenne l’elfe ? Ca ne ressemble surement pas à un elfe mais plutôt à un croisement entre un nain et le cousin machin qui partirait à la love parade avec ses cheveux roses ! »
Mais la possibilité de jouer à trois a été un réel plus dans le jeu, rendant beaucoup plus intéressant les combats contre les boss notamment où on n’avait pas à se soucier des deux autres persos, et où la joie lors de la défaite d’un boss était alors partagée.
Les armes et la Magie :
Contrairement à un Zelda où les développeurs ont toujours été un peu chiche sur la variété des armes et capacités à la disposition de Link, Square avait fait les choses en grand, non pas trois ni quatre ni cinq, non non mon bon monsieur, mais bel et bien huit.
De la sempiternelle épée au boomerang, en passant par la hache, le fouet, la lance ou la gant, c’est au gré de l’aventure que les héros pouvaient choisir soit de se spécialiser pour ainsi débloquer les techniques spéciales ou alors d’utiliser un peu toutes les combinaisons.
Pour ma part, j’avais poussé le vice (comme nombres de personnes j’en suis sur) à monter toutes les armes au max pour mes trois héros, en dehors de l’épée dont la forme finale, l’Epée Mana, ne pouvait être utilisée que par le héros.
« Arrête de mettre ta tenue en cuir noir et de me courir après avec le fouet, je te dis qu’on ne peut pas se frapper entre nous »
Mes favorites étant tout de même le gant et la hache. Comment çà je suis un bourrin ? Moui bon un peu sans doute. Les trois héros ayant la possibilité de changer d’armes à n’importe quel moment afin de varier les stratégies et déclencher une fois au maximum d’une barre d’énergie une attaque spéciale pour chaque arme.
Le menu permettant d’accéder aux armes était plus que bien pensé et au final plus que rapide à prendre en main. D’autant plus qu’il fallait collecter des orbes afin de pouvoir augmenter les niveaux des armes chez le forgeron nain.
Pour la magie, deux types de magies disponibles, l’offensive et la défensive. La fille était spécialisée dans tout ce qui était magie protectrice et curatrice tant que le nabot…euh l’elfe possédait des sorts offensifs.
De même que pour les armes, l’accès aux magies se faisait par un menu rapide et chaque personnage pouvait même avoir sa propre stratégie prédéfinie grâce à échiquier sur lequel on positionnait le personnage afin de le rendre plus agressif et autonome en attaquant automatiquement les premiers ennemis à portée ou bien plus portée sur la défensive et le soutien.
« Mais reviens je te dis !! Non, n’attaque pas ici triple buse, je me suis planté sur l’échiquier ! »
Encore une fois bien pensé de la part de Square (ils sont bons ces Japonais tout de même).
De la première Magie Ondine, c’est encore une fois en avançant dans le jeu que l’on devait libérer les Esprits qui vous faisaient dons de leur pouvoir.
Ici, pas de Chimères ou invocations qui durent dix minutes, mais des effets simples et rapides. Voici les magies disponibles :
- Ondine : Premier Esprit du jeu à apparaître
- Gnome : Esprit de la terre que l’on récupère chez les nains
- Sylphide : Esprit du vent. Le sort analyse était un vrai plus
- Athanor : Esprit du feu. Sans doute un des plus offensifs
- Ombre : Esprit des Ombres. Uniquement disponible pour l’elfe
- Lumina : Esprit de la lumière (on avait pas deviné). Uniquement utilisable par la fille
- Luna : Esprit de soutien, qui donnait des bonus de force en défensif et possèdait un sort essentiel en offensif, « Pompe Magie » qui volait du Mana (points de Magie) aux ennemis
- Bananier (c’est comme çà que j’appelais l’esprit de la Dryade) : Le dernier esprit. Essentiel en raison du sort « Magie Mana » qui ressuscitait l’Epée du même nom
Les PNJ
Ou personnages non joueurs pour toi ô lecteur qui n’a pas lu mon article précédent et qui t’acharne à vouloir lire de articles sans réviser ton vocabulaire avant. Mais au fond je t’aime bien quand même.
Dans Seiken Densetsu 2, les personnages annexes sont légions. Du gentil héros qui nous chaperonne au début jusqu’aux méchants vilains qui viennent vous pourrir la vie tout au long de l’aventure (j’aimais bien le Boss Scorpio et ses acolytes), le panel est plus que complet.
Il serait plus que long d’en dresser une liste complète, mais je vais parler des plus courants et ceux qui ont marqué le jeu de leur empreinte.
-
Les frères canons : En voilà une idée qu’elle était bonne. La hantise de la plupart des joueurs de RPG sont les jeux où on passe la majeure partie de son temps à se balader pour se rendre du point A au point B pour réaliser une quête.
Et pour une quelconque raison, les développeurs ont décidés que les points A et B doivent être le plus éloignés possible. Ici, pas de problèmes. Un petit tour dans le canon et voilà qu’on peut admirer le « Mode 7 » où vos personnages volent de lieux en lieux.
-
Flammy : Aahhh. En voilà un personnage plus qu’attachant (vous aurez remarqué, lecteurs avisés, que vous êtes que j’utilise beaucoup ‘En voilà’ comme expression, j’en suis conscient donc pas la peine de m’en faire part dans les commentaires ).
Sauvé par nos héros dans le Royaume de Bolet (A-t-on idée de donner un nom de champignon à un royaume : Autant l’avoir appelé le Royaume Amanite Phalloïde, on aurait saisi l’allusion). Ce charmant dragon qui n’apparaît que plus tard dans le jeu vous permet de vous déplacer sur toute la carte, et d’explorer de nouveaux lieux. Gros plus de ce mode de déplacement, on pouvait l’appeler quand on le souhaitait grâce au tambourin.
J’avais d’ailleurs à la suite de çà acheter mon propre tambourin pour voir si un dragon apparaissait pour m’emmener en cours le matin. Mais la seule chose qui est apparue est sans doute la honte de ma mère.
-
Vulk : Voilà un personnage assez drôle dans le design, mais qui était votre meilleur ami avec Flammy dans l’aventure.
En effet, forgeron de son état, Vulk est le personnage qui vous permettra de monter le niveau de vos armes grâce aux sphères collectées contre les boss ou dans quelques coffres disséminés dans le jeu (merci encore une fois au livret vendu avec le jeu qui m’a sauvé de longues heures de recherches, car internet à l’époque n’était pas monnaie courante dans les foyers français).
Je fais l’impasse sur tous les autres PNJ parce qu’il en existe plus de 30 et que je dois absolument finir cet article. Mais le lien posté ci-dessus est un vrai bonheur pour les fans.
Pour faire rapide sur les boss, encore une fois Square avait innové, car malgré des boss répétitifs en termes de design (ex : les ogres, les Meks ou autres Dragons et Gelées géantes). Quelques uns sortent du lot, comme Egagropile ou bien les boss du dernier donjon.
Certains étaient plus difficiles que d’autres, mais en général avec un minimum de préparation et de tactique, pas de défi insurmontable, parfois à regret.
Petite mention pour le boss de fin, un Dragon Géant – qui ressemble tout de même fortement au père de Flammy en colère après une grève des contrôleurs du ciel – que l’on doit affronter sans réelle place pour se déplacer et qui a été à mes yeux le boss le plus difficile à éliminer.
J’applaudis donc encore une fois pour cette logique respectée (en effet certains développeurs ont jugé bon que des monstres dans le cours du jeu soient imbattables contrairement à des boss de fin qu’on finit en 10 min max avec préliminaires (non, je ne balancerais pas….FFX….oups j’ai glissé).
Je pourrais encore écrire des dizaines de lignes tant ce jeu a marqué mon enfance (bon ok, mon adolescence), mais il faut bien une fin à toute bonne chose. Je ne saurais toutefois conseiller à tous ceux qui ont aimé, de se procurer un bon émulateur Super Nintendo, et de télécharger la ROM (pour ceux qui ont le jeu original bien entendu) afin de se replonger quelques heures dans ce petit bijou.
Pour faire très rapide sur le troisième Opus, Seiken Densetsu 3, jamais encore sorti en France sur Super Nintendo/Famicom – minute de silence devant mon écran – mais que j’avais eu le plaisir de découvrir en émulation (pas plus de 24 heures encore une fois….je vous jure) et que je souhaite à tous de découvrir avec le même plaisir que moi. Pas aussi jouissif qu’un Suikoden 2 par exemple, mais une vraie bonne suite.
J’ai plusieurs problèmes avec ce jeu qui est totalement fantastique.
1/ Déjà pour commencer, il est impossible de finir ce jeu à 12 ans ! Trop dur, malgré toute ma bonne volonté !
2/ Nous étions tous fans mes potes et moi de ce jeu. On avait bien 3 manettes, mais personne ne voulait acheter le MULTI TAP! Il y avait toujours 1 personne super frustrée.
3/ Ne jamais prêter Seiken Densetsu 2 à une connaissance de classe contre n’importe quel jeu (même Metroid) ! Il ne le vous rendra jamais. Du coup, je n’ai plus que le guide officiel Nintendo de Secret of Mana.
Trop dégouté. Faut que je le trouve dans un vide grenier 😉
Ah Yop, en effet je ne peux blâmer les gens qui ont eu un peu de mal à finir le jeu 🙂
1) Je pense que ce n’était pas une raison d’intellect (je suis sur que tu n’étais pas un idiot fini :p ), mais plutôt une question de temps passé à jouer. Si je l’ai fini plutôt facilement, c’est après des dizaines d’heures de jeu et d’acharnement. Un peu comme dans FF7 où il était impossible de battre les « Armes » sans avoir l’invocation « Chevaliers de la table ronde », et donc le Chocobo d’or.
2) Le multitap était en effet un vrai plus dont j’ai eu la chance d’être l’heureux détenteur.
3) Tu peux trouver le jeu très facilement dans des magasins spécialisés, mais ceux auxquels je pense sont sur Paris :s
Je ne peux pas croire que seul une personne laisse un comment sur ce chef d’oeuvre (non non pas l’article, le jeu 🙂 )
Rah quel dossier ! Merci pour tous ces détails et toute cette passion ^^
Je dois avouer que Secret of Mana je l’ai découvert que bien trop tard et que je n’ai pas eu l’occasion de le finir (sûrement par manque de temps à l’époque). Cependant j’envisage sérieusement de m’y remettre surtout qu’entre temps je l’ai trouvé en version cartouche et que j’ai également une supernes à la maison …
Au fait juste un détail, l’émulation est illégale sous quelque forme que ce soit, l’histoire du délai de 24h est complétement factice et a juste été instauré pour que les webmasters de sites de Roms se donnent meilleur conscience … il en va de même pour la condition selon laquelle « avoir le jeu original autoriserait à utiliser sa ROM » pas du tout … car le jeu a été conçu et vendu pour être utilisé sur tel support, l’utiliser sur ordinateur sous forme de ROM ne respectent pas forcément les volontés des concepteurs d’origine… et donc utiliser une ROM revient à une violation du droit d’auteur …
Après au delà du côté strictement juridique, souvent l’émulation est tolérée et peu condamnée effectivement (surtout pour les plus anciennes machines pour lesquelles les ayants droits se débattent moins que microsoft et sony pour les consoles actuelles) …
Désolé pour ce petit hors sujet ^^
encore une fois ton article est vraiment sympa !!!
Il faut que je me remette sur l’article Seiken Densetsu 1
Lol
Ok Yama, merci pour les précisions. Je vais donc faire un Edit sur le post afin de rectifier ce point là 🙂
Pourtant il me semblait bien avoir qu’il y avait une partie légale. Peu importe, j’ai la cartouche encore à la maison, donc je ne me fais pas trop de soucis (de même que la version Jap de SK 3 :))))
Pour le jeu, oui il était long et je comprends que bcp ne l’aient pas fini. Bon courage si tu dois t’y remettre 😉
Et merci pour les compliments :p
Quel jeu magnifique, qui a bercé mon adolescence…
Je me souviens avec nostalgie des 10 heures que je passais dessus par jour, et des moments de féérie dans la forêt enneigée notamment…
Je me passe encore quelque fois le cd de l’ost.
J’ai même refini 2 fois le jeu sur émulateur! ^^
Par contre j’avais pas réussi à trop accrocher sur le 3..
Article sympa!
A l’époque , un copain de classe me prête ce jeu en me disant « tu va voir c’est une tuerie » . Ne connaissant absolument pas je lui fit confiance et sitôt rentré chez moi , installa la cartouche dans ma supernes …. et Alléluia !! Je découvrais l’action rpg et ce fût pour moi une véritable révélation .
Un jeu donc très spécial pour moi , ses graphismes , son ambiance , ses musiques , son game play , tout était génial et le nombre d’heures (important) que j’y ait passé ont été parmi mes plus belles heures devant un jeu-vidéo .
Merci et bravo pour ce beau travail 😉
Merci pour ce superbe aperçu de ce jeu qui a bercé de nombreuses nuits à deux ou à trois (nan pas d’esprit pervers…) et mes journées de geek débutant.
Mon frère et moi avions tellement galéré face au premier Tigror, avant d’avoir Ondine, quand la limite des items de soin est de 4… dur…
Quelle ne fût pas ma déception quand, plus vieux d’une dizaine d’années, je me le suis relancé sur ma vielle Super Nes, et que, frissonant à l’approche de l’antre Tigror, mon pote et moi avions levelé comme des anarchistes nains à la sortie d’une réunion syndicale de gobs, pour finalement l’étaler en deux minutes….
Comme quoi, la difficulté toute relative de ce jeu de malade qui m’a fait, et encore, baver des heures devant ma téloche cathodique merdique, dépend vraiment de l’âge. et sans mauvais jeu de mots pourave (bon si y’en a un…) et de l’expérience…
Merci encore Max.
Merci pour les commentaires. Ca fait toujours plaisir de voir que des personnes ont pu comme moi passer de nombreuses heures de pur plaisir en jouant à SoM.
Pour information pour les fans, Square vient de sortir une application pour Iphone/Ipod Touch/Ipad (format Iphone) qui n’est autre que le jeu lui même :))), appelée Secret of Mana
Une super nouvelle qui témoigne du bijou qu’est ce jeu.
Bonjour. Que de bons souvenirs également sur Secret Of Mana. Merci pour ce petit rappel plein de nostalgie.
Pour info Seiken Densetsu est sorti en France son le nom de Mystic Quest jeu Game Boy