Nintendo 64 – Débuts sentimentaux
Ça fait un petit moment que je n’avais pas écrit… J’ai argumenté Yop sur mes futurs articles, et j’me suis laissé déborder par la reprise de mes études… Hé oui, je suis encore un petit jeune, n’oubliez pas, vous, très chers lecteurs !
J’ai récemment posté une liste de mes jeux sur un forum… Ceux que je possède vraiment, les miens, quoi … Et pour mon âge, rien que de penser au total de petits euros (et francs) dépensés à l’époque des achats, je me sentais presque honteux. Mais c’est tellement bon !
C’est en dressant cette liste que j’ai repensé à l’article que j’avais promis à Yop. Cet article concernant la très belle, la divine, la magnifiiiique Nintendo 64.
Sois cool, Dude, ne détruis pas ton Joystick toi aussi !
Je sais, je sais. J’aurais pu commencer une anthologie des consoles par d’autres, évidemment. J’ai fait la NES la dernière fois… Mais il fallait que je me fasse plaisir, et que je parle de cette console qui aura usé mes petites mains d’enfant fébrile à jouer à des jeux de folie. Je n’ai jamais manqué de rien, je me dois de le dire (surtout si on finit par me lire ici en famille), mais ce que j’aimais chez ma mère, c’était ce point d’honneur mis sans le vouloir à satisfaire ma culture vidéo ludique et mes possessions au fur et à mesure du temps qui s’écoulait. Ainsi, quand Nintendo a sorti une console qui s’avérait très prometteuse, elle m’en a promis l’acquisition.
Ma Nintendo à moi, elle était de cette couleur là, naaaa
1997 : Tandis que mes copains avaient déjà l’occasion de jouer sur de bonnes consoles de 5ème génération, la Playstation (sortie Europe : 1995) ou encore la Sega Saturn (sortie Europe : 1995), je patientais encore avec ma Super Nintendo.
C’est le Tokyo Game Show de 1993 qui révéla aux oreilles du monde entier le Project Reality, qui sera concrétisé par un mélodieux « Ultra 64 » en 1994, année où d’ailleurs, Nintendo s’associe à Silicon Graphics pour repousser les limites de sa dernière console du marché, (la Super Nintendo), pour ceux qui suivent, en sortant un Donkey Kong Country fantastique, repoussant au plus loin les limites de la petite console aux angles arrondis et aux tons gris chatoyants. C’est la collaboration entre Silicon Graphics et Nintendo qui donnera naissance, plus tard, à la Nintendo 64.
J’ai dû attendre l’an 2000 pour recevoir une Nintendo 64 pour de bon. D’abord parce qu’il est vrai que la Super Nintendo que j’avais et tous les jeux sortis dessus que je pouvais avoir pour pas trop cher me suffisaient donc amplement jusqu’à ce que je me décide à trouver le Graal en cette nouvelle Nintendo déjà sortie depuis longtemps, et maintenant moins chère aussi.
Ce qui m’intéressait le plus au début, avec cette nouvelle console, c’était la manette. On s’est tous posés la question, petits… Fini les manettes bi-polaires, d’un côté les boutons d’actions, de l’autre les croix de déplacement. Là, la manette pose un vrai problème en fait. Il y a trois branches ! Cet appendice greffé au milieu de la manette, vers le bas, vient tel un sexe masculin perturber le badaud qui prendra cette manette en main… Puis instinctivement, on fini par s’y faire. La main droite reste à s’occuper des boutons d’actions, nettement plus nombreux d’ailleurs, et la main gauche vient doucement prendre sa place, le pouce sur le joystick.
Je te tue.
Posant la main et prenant la manette de la bonne façon, pense-t-on, on découvre une autre chose nouvelle. Les boutons ne sont plus tous visibles de prime abord ! La gâchette Z, situé sous le joystick, présage déjà quelques possibilités de jeux de tirs intéressantes.
C’est pourtant avec des jeux un peu différents des jeux de tirs que je ferai mes premières armes sur Nintendo 64.
Mais mes enfants, il est déjà tard. Je prépare l’article suivant, qui concernera les jeux qui m’ont marqué sur la Nintendo 64, justement. Il fallait bien que je fasse cette petite introduction à la Nintendo 64, pour les plus jeunes !
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