Cinéma et films cultes
Cette liste de films de ciné cultes ne finira jamais, je pense ! Si vous avez des idées d’articles n’hésitez pas à nous les soumettre.
Clerks, les employés modèles : le premier film de Kevin Smith !
Clerks est un film réalisé et écrit par Kevin Smith. Vous savez le réalisateur que l’on présente comme un Geek ultime ayant réalisé Dogma (que tout le monde connaît et dont je ne suis pas fan d’ailleurs).
Ce film est une petite merveille que j’ai découvert il y a 1 ou 2 ans par hasard. Le synopsis sur le papier est très simple et n’est pas particulièrement vendeur.
Créez votre propre univers avec les figurines pop
Vous aimez les accessoires vintage et êtes fan de séries TV ? Vous souhaitez alors mettre un peu de changement dans votre maison. En effet, vous voulez personnaliser un peu votre intérieur ou juste une de vos pièces.
Dans ce cas là, vous devez absolument opter pour des figurines pop. Vous trouverez une large collection de modèles depuis une boutique spécialisée.
Spider-Man 3 : voici à quoi pourrait ressembler Willem Dafoe dans le rôle du Bouffon Vert
Le Marvel Cinematic Universe est en pleine expansion, et plusieurs projets très attendus sont actuellement en production.
Le plus important d’entre eux est Spider-Man 3 de Jon Watts, qui sera le troisième film solo de Tom Holland dans l’univers partagé. Il y a une tonne de rumeurs sur le film, y compris sur le retour de divers acteurs des deux précédentes franchises Spidey.
Napoléon Dynamite, un film de Jared Hess !
Vote for Pedro
Voici un film totalement inédit en France que j’ai découvert il y a 15 jours. Alors certes, ce film n’est pas très vintage, puisqu’il est sorti aux Etats-Unis et au Canada en 2004, mais je ne peux pas résister.
Le synopsis de Napoléon Dynamite me fait encore rêver : nous vivons la vie d’un véritable nerd (Rodolphe de Free passe pour une personne tout à fait normale en comparaison) !
Niki Larson, le City Hunter version Jackie Chan
Non, il n’y a pas de fautes d’orthographe à « Niki Larson » ! Car cette fois il ne s’agit pas du manga ou de l’anim City Hunter, que vous connaissez mieux sous le nom de Nicky Larson, mais du film.
Au Japon, cet opus signé Wong Jing est bien sorti sous le titre City Hunter, mais dans la version française, pfffuit, plus de « c » à Niki ! En même temps, comme Jackie Chan n’a pas vraiment la plastique de rêve de Nicky (qui rappelons-le, est grand et séduisant), tout s’équilibre.
L’univers des Tortues Ninjas : COWABUNGA !
Je préviens immédiatement, il va être très difficile d’être exhaustif sur ce sujet tellement que l’univers des Tortues Ninja est étendu.
Il y a de tout : des comics, des séries télé, des films, des jouets,…
Pourtant, il faut bien avouer que sur papier l’histoire de nos 4 tortues n’était pas très alléchante. Imaginez aujourd’hui un mec qui va voir un producteur et qui lui propose de faire un dessin animé sur des tortues mutantes humanoïdes qui parlent et pratiquent le Kung Fu (et adorant accessoirement les pizzas) !
Wayne’s World Mega teuf, giga teuf, Excellent !
Dis Wayne, t’as déjà trouvé Bugs Bunny sexy quand il s’habillait en fille et qu’il ressemblait à une lapine
Dans la catégorie Narnar réussi, je vous présente aujourd’hui les deux volets de Wayne’s World, deux grands classiques de Mike Myers, avant son énorme succès avec Austin Power.
Pour ceux qui ne connaitrait pas, nous suivons les aventures de 2 jeunes adultes totalement décérébrés et dégénérés, fans de hard rock et de métal.
Pair et Impair : le meilleur nanar de Bud spencer et Terence Hill
Pair et impair est un vrai super nanard italien des années 70 ! Ce film est une vraie catastrophe, mais dans le bon sens du terme.
Pair et Impair est une comédie réalisée par Sergio Corbucci et sortie en 1978 (en toute franchise, je pensais qu’il datait du milieu des années 1980).
A mon sens, ce film est une pure réussite dans la filmographie du duo culte Terence Hill et Bud spencer.
L’histoire est pourtant très légère et complètement loufouque (c’est peu dire !). Johnny Firpo (joué par Terence Hill) se voit charger d’une mission de la plus haute importance : mettre fin aux agissements d’un gang de bookmakers clandestins avec à leur tête Paragoulis.
Le Kid de Cincinnati, le tout premier film sur le poker
Reprenant la plupart des codes apparus dans le film de 1961 de Robert Rossen, L’Arnaqueur, avec Paul Newman en jeune ambitieux et prodige du billard voulant devenir le meilleur joueur des USA et affrontant le grand champion national pour ce faire, Le Kid de Cincinnati, sorti en 1965, et réalisé par Norman Jewison, suit une trame légèrement similaire, mais en plaçant cette fois-ci l’intrigue autour d’un joueur de poker.
Les films cultes pour ados de John Hugues des années 80 / 90
Ce nom ne vous dit peut être rien, mais si vous aviez entre 8 et 15 ans dans les années 80-90 vous avez obligatoirement adoré un de ses films ! John Hugues est le réalisateur, scénariste ou producteur d’un grand nombre de films cultes pour ados des années 80-90.
A vrai dire, mon premier souvenir au ciné, c’était pour un de ses films (en tant que scénariste), et pas des moindre : le cultissime « maman j’ai raté l’avion » (Home Alone) sorti en 1990 avec Macauley Culkin.
Bon autant le dire tout de suite, John a fait pas mal de ce que l’on pourrait appeler poliment des « grosses bouses », comme Beethoven, Denis la Malice, …
Quel film vous a fait commencer le poker et/ou les jeux en ligne ?
Je l’avais loué en VHS à l’âge de 15 ans, quelques mois après sa sortie, dans le vidéo club de ma ville. L’âge de visionnage d’un film est simplement fondamental pour avoir ce déclic : trop jeune, on passe à côté du sujet et trop vieux, c’est trop tard !
Le pitch de départ :
Mike McDermott est un jeune joueur de poker et un étudiant en droit. Un soir, il perd toutes ses économies pendant une partie face à Teddy KGB. Il renonce aux cartes cette nuit-là. Mais, son meilleur ami, l’Asticot, sort de prison peu après et doit rembourser ses dettes…
Les ’90, la naissance du casino au cinéma
Dans les 90, le poker en ligne et ses people n’existaient pas encore ou alors tout le monde s’en foutait.
Et pour tout vous dire, moi j’ai découvert ce jeu avec Terence Hill dans Pair et Impair. Très marrant mais pas vraiment de quoi me détourner des jeux vidéos.
Et puis il y a eu ce premier ovni, sorti en 1994 : Maverick.
American Psycho, It’s Hip To Be Square
Avant que Christian Bale ne fasse la chauve souris dans la nouvelle trilogie Batman de Nolan, avant qu’il ne joue un anorexique dérangé dans The Machinist, ou qu’il combatte des dragons dans Le Règne du Feu, il joua un rôle assez impressionnant en tant que golden boy dans un film de 2000, American Psycho
Suspiria, Dario Argento fout les boules
Dario Argento n’est pas forcément le réalisateur auquel je pense forcément quand je veux me regarder un bon petit film horrifique. Mal m’en prend, car Suspiria est une petite merveille d’horreur. Et c’est le seul film de Dario Argento que j’ai vu.
Alien (Ridley Scott) : Nostromo, Monstre & compagnie
Alien : cette saga culte n’a plus besoin d’être présentée. Tout le monde la connaît pour une simple raison : rarement des long-métrages SF auront été d’aussi bonne qualité au fil des opus.
Inutile d’enfoncer des portes ouvertes en étalant les qualités du premier long métrage, pilier fondateur d’une longue lignée. Cet article tente plutôt de vous en apprendre plus sur les coulisses du film, la construction de ce mythe des temps modernes.
Invasion Los Angeles (They Live) : Vois la vie en Rayban
Carpenter est un maître de l’horreur et du suspense. Des films comme Fog ou le terrifiant The Thing sont d’une rare intensité et tension (bon, il a fait aussi Jack Burton dans les griffes du Mandarin, très kitsch).
Mais le réalisateur ne s’arrête pas là. Il peut nous offrir des petites merveilles de science-fiction comme l’oeuvre dont il va être question aujourd’hui : Invasion Los Angeles.
L’empire du Soleil : Christian Bale dans un Spielberg
Bien avant le sombre mais talentueux « Dark Knight » et le complètement barré « American Psycho », Christian Bale a effectué ses débuts devant la caméra auprès d’un des plus grands : Steven Spielberg.
L’histoire prend place dans des terres asiatiques prises dans la tourmente de la 2nde Guerre Mondiale. Le résultat est bien éloigné d’un Full Metal Jacket (Spielberg oblige) mais il s’agit tout de même d’un chef d’oeuvre à découvrir d’urgence pour les plus retardataires d’entre vous…
Commando, Oh, Freddie Mercury !
Les années 1980 furent une période bénie pour les films d’action et de science-fiction avec notamment les très bons exemples que sont Rambo, Robocop, Terminator ou encore Predator.
Vous aurez noté que dans ces bon films cités, 2 y trouvent Schwarzy en tant qu’acteur principal. De fait, à cette époque, avoir l’Autrichien sur l’affiche d’un film assurait d’avoir de bonnes rentrées d’argent.
Mais bien sûr, dans le lot, y’avait bien 1 ou 2 nanards. Et bien, Commando est peut-être un grand révélateur de la qualité de beaucoup de films d’action de cette époque: bourrins, cons, mal faits, mal joués. Et pourtant, quel bonheur !
Jurassic Park, « J’ai dépensé sans compter »
Il y avait beaucoup de choses en commun qu’aimaient les mômes dans les années 90 (avant ces conneries de Beyblade par exemple, nomdidiou !), et les dinosaures en faisaient partie. Votre serviteur en était, par exemple, un grand fan. Du classeur avec les fiches dinosaures (et les lunettes vertes et rouges pour voir les fiches en 3D, yeah !) aux figurines, j’avoue que ces bestioles ont été, et restent, avec les requins, une “passion” (j’ai été élevé par Omar Shariff).
Et bordayl, vlati pas que cet awesome Spielberg se dit “Tiens, si je faisais un film tiré d’un bouquin d’un mec qui raconte une histoire avec des dinosaures mais pas dans le passé mais dans le présent… Ah oui, et y’aurait Jeff Goldblum”.
Jurassic Park est né.
Strike Commando 100% NANARD
Cet article est un pavé dans la mare, pour tous les aficionados des films d’action des années 80. Oui ! aujourd’hui je prends des risques… On vous a menti, et je vais enfin vous révéler la vérité sur les actionners des 80’s.
Le roi de l’action décérébré n’est pas Carlos Ray Norris, alias Chuck Norris mais bien Reb Brown alias Robert Brown.
Et pour vous le prouver, je vais vous présenter le plus grand drame psychologique sur la guerre du Vietnam : STRIKE COMMANDO
Predator, « T’as pas une gueule de porte-bonheur »
On va finir par croire que j’adore les gros muscles de l’Autrichien tueur de terroristes (Commando), mais que voulez-vous, Schwarzy a fait les plein pots dans les années 80-90 dans le registre film d’action, certains plus ou moins réussis.
Cependant, l’association du réalisateur Mc Tiernan (Die Hard, A la poursuite d’Octobre Rouge, Last Action Hero…) à Schwarzy fait que l’on risque de s’intéresser quelques peu à Predator, film culte parmi les cultes dans la catégorie film d’action.
Terminator 2, tintintin tintin !
Après un premier volet qui avait séduit par son histoire (je viens du futur pour te dire que tu vas donner naissance à John Connor qui va devenir le chef de la résistance humaine dans un monde qui va être ravagé par les machines et ptete que je fais des phrases un petit peu trop longues), James Cameron avait rempilé pour un second volet qui, selon la plupart des fans, est le meilleur épisode de la saga.
Toujours Schwarzi dans le rôle du Terminator (gentil cette fois), et Robert Patrick dans le rôle du T-1000 (acteur qui, on le verra, fait roxxer 80% du film).
The Breakfast Club : un film méconnu à découvrir absolument
The Breakfast Club est sorti le 11 septembre 1985 sur nos écrans. Je n’avais jamais entendu parlé de ce film avant 2005, soit 20 ans après sa sortie ! C’est ce film qui a fait germer l’idée de lancer un blog traitant notamment de films cultes tel que celui-ci. C’est pour dire !
Je ne vais pas y aller par quatre chemin : Breakfast Club est totalement génial pour ceux appréciant les films teenagers ou teen movie américains des années 80
Captain Orgazmo, Roquette Quequette !
Les nanars font partie de notre culture. Oui, vous avez sûrement, dans votre vie, vu un nanar, même sans le savoir !
Je ne sais pas, tiens, par exemple, Commando, quand on est môme, putain ! C’te claque ! Schwarzy qui dégomme du méchant à la sulfateuse, et le gros vilain, plus crédible que ça tu meurs !
Et puis, on grandit… On se rematte Commando, entre potes (les gars, vous vous reconnaitrez), parce « c’était un super film ! ». Et on se marre comme des dindes.
Pourquoi ? Parceque, notre soif d’action a laissé place à une analyse plus « poussée » du film.
Schwarzy n’a qu’une seule expression, les blagues très bas de plafond, les ennemis dégommés à la pelle, et le méchant… Un sosie de Freddie Mercury (sacré Bennett). L’esclaffe totale quoi !
Retour vers le futur 2 : trop culte
Pourquoi traiter de retour vers le futur 2, avant le premier volet ?
Tout simplement parce qu’il s’agit du meilleur épisode de la trilogie. C’est mon avis ! Si vous n’êtes pas d’accord avec moi, ce n’est même pas la peine de continuer la lecture de cet article.
Marty McFly après être revenu à son époque à la fin du premier volet, voit le Docteur Brown débarquer devant sa porte, avec la DeLorean au moment même où il s’apprêtait à faire une balade avec Jennifer.
Super Mario Bros le Film (ou « OMFG, c’est quoi cette bouse ?? »)
Je vous le dis de suite avant de commencer, j’ai honte, honte de parler de ce film, honte de l’avoir vu aussi…
Bon, en même temps, après avoir fait un article sur la saga NY 1997/LA 2013, il était normal de contrebalancer avec une merde. Un bon gros nanar (oui, parceque comme le dis si bien le très bon site Nanarland, un nanar c’est un mauvais film rigolo) bien dégoulinant, y’a même du ketchup de scénario con qui dépasse, hop, spluuurp…
Ah, y’a pas à dire, les fast food, c’est dégueulasse, mais on y retourne toujours, c’est un plaisir quelque peu honteux, un peu comme les mauvais films…
New York 1997 – Los Angeles 2013
Il y a des films qui puent la classe, parce que le héros est charismatique, parce que le film possède une âme, parce que l’on sent l’implication du réalisateur. 2 de ces films font partie de cette catégorie, New York 1997 et Los Angeles 2013.
Je me souviens que la première fois que j’ai entendu parler de New York 1997, je n’étais pas trop motivé à le regarder (j’étais jeune, halala). Mais, quand j’ai vu que le réalisateur était John Carpenter, et que j’avais déjà vu The Thing, je n’ai fait qu’un bond.
Et j’ai eu raison, New York 1997 reste pour moi une oeuvre majeure, mon film préféré, un film unique qui m’a laissé des sensations que je n’ai jamais retrouvé ensuite, jusqu’à ce que je mette la main sur Los Angeles 2013, suite sortie 15 ans apres New York 1997, moins bon, mais quand même culte.